Allez parlons en puis-ce que c’est le thème du moment…..
Vous voyez tous au tour de vous, sous vos yeux et tous les jours des centres de : (redressement, de torture, de traite et d’exploitation de personnes), sauf que ces centres sont communément appelés « DARAS »
Dans ces « DARAS », des enfants aussi appelés « TALIBE » y sont séquestrés, brutalisés, exploités, leurs avenirs réduits à sillonner les rues à la quête d’aumône au profit d’un monsieur lui aussi appelé « MARABOUT » ; et ce dans de drastiques conditions que nul n’ignore dans ce pays.
Habillés de haillons tous en lambeaux, les yeux creux signe d’une male nutrition, ces enfants sont mal traités et dés fois battus à mort et enterrés en catimini, ce n’est pas au Sénégal qu’on me démentira parce que de très récents exemples peuvent être cités, suivez mon regard….
La souffrance de ces enfants, le deals, ce business sur le dos des ces gamins, la société y participe à grande échelle. On se contente de petits « ndéysane » pour manifester une compensation hypocrite, Alors que derrière on se sert d’eux pour exécuter des pratiques sous l’ordre d’un charlatan. Ces petits dons, dés fois empoisonnés de crachats ne sont ni destinés à calmer la faim de ces enfants, ni pour soulager leurs douleur en général, mais juste pour obtenir une ascension sociale, une promotion ou un meilleur avenir prédit par notre marabout qu’on est allé voir la veille.
Certains Daras de délinquance ou de redressage ont aussi cette connotation de vouloir redresser des enfants, mais de par la violence physique ou verbale, la privation de nourriture, d’eau ou de soins médicaux, l’entrave ou l’enchainement.
Dans ces Daras, Des crimes et délits impunis y sont fréquemment perpétrés sans qu’il ait une véritable résolution : comme à l’accoutumé, dans de pareils cas l’état déserte le terrain de la responsabilité.
NB : Vivement la modélisation des Daras pour un enseignement responsable dépourvu de toutes formes de violence physique ou verbale. Vivement des Daras conformes au model de Serigne Saliou Mbacké et de Sokhna Mariama Niasse.
Ndiaye Woula Sanou…