Les joueurs avertis des dangers mais accros aux réseaux sociaux
Même s’ils s’y font allumer ou insulter, les joueurs de L1 sont accros aux réseaux sociaux, informés de leurs dangers et fliqués. Les Lillois Luiz Araujo et Reinildo consultent leur smartphone. (L. Argueyrolles/L’Équipe) Même s’ils s’y font allumer ou insulter, les joueurs de L1 sont accros aux réseaux sociaux, informés de leurs dangers et fliqués.…
Même s’ils s’y font allumer ou insulter, les joueurs de L1 sont accros aux réseaux sociaux, informés de leurs dangers et fliqués.,
Même s’ils s’y font allumer ou insulter, les joueurs de L1 sont accros aux réseaux sociaux, informés de leurs dangers et fliqués.
Les Lillois Luiz Araujo et Reinildo consultent leur smartphone. (L. Argueyrolles/L’Équipe)
Même s’ils s’y font allumer ou insulter, les joueurs de L1 sont accros aux réseaux sociaux, informés de leurs dangers et fliqués.
Pascal Glo
mis à jour le 3 avril 2021 à 00h14
Le week-end dernier, Thierry Henry s’est retiré des réseaux sociaux. Pour justifier sa décision, le champion du monde 1998 et d’Europe en 2000 a évoqué « le volume considérable de racisme, d’intimidation et de torture mentale qui en résulte pour les individus ». Il restera en retrait « tant que les personnes en charge de ces réseaux ne mettront pas en place de mesures pour réguler leur plateforme avec la même férocité qu’ils le font pour protéger les copyrights ». Deux jours plus tard, le sélectionneur anglais Gareth Southgate invitait les joueurs à en faire de même : « Si vous parliez à tous les entraîneurs du pays, l’une de leurs plus grandes préoccupations est de voir leurs joueurs sur leur téléphone dans le vestiaire après un match, alors qu’ils peuvent être vulnérables à ce moment-là. Ils sont fatigués et usés… »