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3 ans agoon
By
SENDirect
L’exemple cité par le leader panafricaniste est frappant : « C’est comme un homme qui bat sa femme pendant plusieurs années, quand sa femme décide de partir il la supplit en lui disant que je vais changer ». Autant comprendre que quel que soit les changements que pourra apporté la France, les intérêts des africains seront toujours relégués au second plan, car c’est une question d’existence pour la France.
Kémi Séba d’ajouter : « Le problème ce n’est pas le prolétariat français, mais bien l’oligarchie française, qui n’entretient son rayonnement international que parce qu’il maintient son genou sur le cou de l’Afrique ».
A ceux qui interprètent sa position comme étant liée à sa non invitation à l’événement, Kémi Séba répond : « J’ai plus d’audience que ces personnes invitées, je n’ai rien contre vous, mais vous vous êtes encore faits bernés ».