Ces deux dernières semaines ont connu la libération de certains prisonniers triés par affinités des dirigeants illégalement pris en otage l’Union des Comores, de pots de vins versés suivis d’un contrôle judiciaire complaisant. Je félicite les personnes bénéficiant de ces mains tendues. Cette méthode ressemble bien d’un Etat en déliquescence, d’un gouvernement mou, sous l’œil de la communauté internationale du fait des agissements contraire au droit de l’homme.
Trois personnalités politiques de l’Union des Comores viennent d’être aménager de leurs peines, ces dernières n’ont jamais été connu par le grand public. Il ignore de quoi sont reprochés. Les comoriens considèrent que ces personnalités sont prises en otage, coffrets chez eux pour des faits imaginaires d’un régime excédé.
Le régime illégal ne fait que d’imaginer des scénarios pour confisquer les libertés des citoyens. Plusieurs personnes sont emprisonnées pour des faits montés en toute pièce pour les inculper et les enfermer.
Messieurs les anciens vices président MOHAMED ALI SOILIHI et NOURDINE BOURHANE ainsi que l’ancien Ministre MOHAMED BACAR DOSSAR sont enfermés injustement par le régime usurpé. Celui-ci ordonne la mainlevée partielle dans des conditions impraticables. On voit vraiment que le caporalisme dans le pays est loin d’être écarté.
D’autres personnalités sont encore sous les verrous verront bientôt un aménagement de complaisance pour essayer d’affaiblir les revendications de l’opposition, ne vous laissez pas berner par ce régime insignifiant. Crions haut et fort, reprenons conscience et allons à la reconquête de notre pays.
Idi MOUZAOIR AHAMED
Membre fondateur de l’UPDC
Ancien Secrétaire Régional
